Ramassage et réglementation

                   Pour nous, arénophiles, le sable est un trésor, un souvenir de vacances,                               la découverte d'un lieu inconnu, le plaisir du partage, bref, du bonheur en "grains".

Aujourd'hui, enrichir sa collection est devenu plus compliqué, 

  ramasser du sable en France ou à l'étranger est très réglementé. 

Il faut respecter les consignes au risque d'être verbalisé, voire pire dans certains pays.

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Attention cependant, certains pays sont plus sévères que d'autres, la Sardaigne, 
par exemple, a décidé depuis 2016 de sanctionner les visiteurs qui ramènent du sable 
dans leur bagage, ou encore les Galapagos qui interdisent tout prélèvement biologique ou géologique depuis 1999, les sanctions peuvent aller jusqu'à des peines de prison, 
l'Islande interdit également de ramener le moindre objet prélevé dans la nature 
et les contrôles à l'aéroport sont nombreux.
La liste n'est pas exhaustive.

plage de sable noir de Punalu'u, Hawaii

Cet article de l'édition du soir donne un aperçu de sanctions encourues par des touristes...

 un peu trop gourmands !

Ces interdictions n'ont qu'un but : la protection de l'environnement, 

si chacun de nous ramène une grosse quantité de sable, il y a un risque de mise en péril 

de l’équilibre de l' éco-système de ces lieux magnifiques.

Alors, pas question évidemment de ramener des seaux de sable, un prélèvement doit rester raisonnable, un sachet, moitié pour soi, moitié pour échange, même si je sais que la tentation d'en ramener est forte.

L'échange permet non seulement d'enrichir sa collection mais aussi d'enrichir son cercle d'amis, de faire de nouvelles connaissances à travers le monde, 
de voyager au fil des rencontres. 

On peut aussi réduire sa quantité collectionnée, j’utilise de petits tubes de 8 ml 
et le rendu est tout aussi joli.

Alors, si nous voulons continuer à profiter de nos collections, 
soyons Responsables, Raisonnables et Vigilants.